À l’approche des célébrations de la fête des mères et de la fête des pères, les vitrines se remplissent de fleurs, de messages tendres et de sourires. Mais derrière cette effusion de joie, il y a des silences. Des cœurs serrés. Des bras vides. Des parents dont l’enfant n’est plus là pour célébrer.
Ceux qu’on appelle les paranges.